les responsables des différentes filiales du groupe BBS ont Deux jours de retraite à Loumbila, à la sortie Nord de Ouagadougou, pour faire le point sur des axes de la stratégie de BBS Holding. Une occasion pour BBS Holding de réunir les responsables de ces différentes filiales en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale. Le Président du Comité Exécutif (PCE) du groupe, Arouna Nikièma, satisfait de ce conclave tenu dans un pur esprit de famille et d’engagement de ses collaborateurs à toujours tirer vers la perfection qui, il faut le rappeler n’est pas de ce monde, a déclaré, ce vendredi 17 septembre 2021, que vu le nombre d’emplois qu’il crée, «aujourd’hui, le groupe se place à un niveau très acceptable dans la lutte contre le chômage en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale»
Comme il est de coutume à BBS, les cadres de l’entreprise qui emploie des milliers de personnes en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale, se sont réunis cette année pour leur communion annuelle. Ce fut l’occasion de rassembler les responsables de toutes les filiales du groupe pour faire le point sur des axes stratégiques de BBS Holding.
Deux jours de rencontre pour un groupe plus solide et prospère
Cette année, «nous avons planché sur des axes qui avaient été déclinés par la filiale Burval», a affirmé Arouna Nikiéma. «Le premier jour a été consacré à la filiale du groupe, Burval mais le deuxième jour a consisté en une formation qui a permis aux différents responsables de savoir exactement ce que c’est qu’un manager qui tire son équipe vers le succès, vers des victoires pour le bien du groupe».
Le PCE de BBS Holding s’est dit «très satisfait» des résultats obtenus par les membres de ce qu’il appelle sa «famille». Il explique: «Une société, c’est d’abord les ressources humaines et nous avons la chance d’être entouré de collaborateurs très motivés, très engagés et très responsables qui n’ont d’autre cible que le succès et qui travaillent dans un esprit de famille, un esprit d’équipe». Et donc, a insisté M. Nikiema, «nous sommes très satisfaits».
Mais, «au-delà de l’assise de la société et la qualité des dirigeants dont elle regorge, a-t-il poursuivi, le baromètre que nous regardons, c’est aussi celui du nombre d’emplois que nous créons». Pour le PCE de BBS Holding, «quand on regarde en Afrique, le nombre d’emplois que nous créons, nous sommes heureux et nous sommes convaincus qu’aujourd’hui, le groupe se place à un niveau très acceptable en la matière, en Afrique de l’Ouest et de l’Afrique centrale ».
Un groupe qui s’implique activement dans la lutte contre la Covid-19
Le groupe BBS, à l’instar d’autres sociétés privées, a fait face à la pandémie de la Covid-19 qui a joué négativement sur le rendement des entreprises. Cette situation a amené les gouvernements africains à prendre des mesures «très fortes» selon Arouna Nikièma, pour lutter contre la pandémie.
«Nous, au sein de notre groupe, nous avons créé une cellule de crise depuis le début de la pandémie et jusqu’à aujourd’hui la cellule fonctionne bien. Nous avons poussé tous les collaborateurs à faire des tests, à se faire vacciner et je pense que nous ne pouvons que suivre le mot d’ordre des gouvernements des différents pays où nous sommes implantés, donc respecter les gestes barrière, faire des tests et surtout se vacciner», a dit M. Nikièma.
Pour lui, «aujourd’hui, la seule solution pour bloquer la pandémie, c’est la vaccination» et sa société «ne peut que suivre ce mot d’ordre». Il a salué les gouvernements qui, de manière unanime, ont pris les bonnes mesures pour limiter la propagation du virus hautement contagieux.
Dans, «certains pays où nous sommes présents, des mesures encore plus fortes ont été mises en place pour pouvoir endiguer le mal et nous, nous ne pouvons que féliciter les gouvernements des pays africains qui sont aujourd’hui des exemples», a réitéré, le PCE de BBS Holding.
Partage d’expériences entre filiales
Le secrétaire général de BBS Holding, Kader Zoundi, a jugé positifs, les résultats de la rencontre qui se tient chaque année pour permettre non seulement de renforcer les potentialités des dirigeants du groupe, mais aussi, pour partager les expériences entre les différentes filiales de la société.
Cette rencontre visait à «remobiliser le groupe, ses directeurs généraux, remobiliser nos équipes à la modernisation, à intégrer dans leurs actions ce qui se passe autour d’eux dans le cadre des activités des sociétés», a affirmé Kader Zoundi, qui n’a pas manqué d’évoquer les autres points essentiels qui étaient au menu de cette rencontre importante.
«Nous nous sommes penchés, entre autres, sur la stratégie opérationnelle, l’orientation des marchés de la société et la structure des coûts de nos activités et les sept clés d’une équipe de direction gagnante», a énuméré le SG de BBS Holding. «Quand on parle des sept clés d’une équipe de direction gagnante, il faut comprendre par là, toute l’armada qu’il faut mettre en œuvre pour que l’entreprise soit viable et dynamique», a expliqué M. Zoundi.
«Une ambition singulière, des actes pluriels!» Avec ce slogan évocateur, le groupe BBS Holding qui compte plusieurs sociétés exerçant à 90% dans les métiers de la sécurité/sureté dont le gardiennage, le transport de fonds, la sécurité incendie, la sécurité électronique, l’ingénierie et la formation, demeure très à cheval sur la satisfaction de ses clients, en gardant pour point de mire, sa contribution au développement des pays dans lesquels il est implanté.
Au titre des sociétés du groupe l’on peut citer Burval Corporate (Burval), Burval Security and equipment (BSE), BBS First Sécurity (BBS), Bureau Suretas et l’Institut supérieur de management des risques (ISMR).
En obtenant le renouvellement de son contrat de protection des infrastructures de la mission des Nations unies (Minusca), Croisement SA, filiale de la holding BBS de l’homme d’affaire burkinabè Arouna Nikiéma, confirme son influence en Afrique centrale. Le groupe est déjà très actif en Afrique de l’Ouest.
Les Nations unies ont renouvelé fin juillet leur confiance à la société de sécurité privée centrafricaine Croisement SA qui va continuer à assurer des missions de gardiennage non armé au profit de la Minusca. La firme va ainsi empocher sur deux ans plus de 7 millions de dollars pour surveiller l’ensemble des sites de la mission onusienne de maintien de la paix en Centrafrique, dans le cadre d’une reconduction du contrat signé en 2017.
Fondé en 2015, Croisement – qui assure également la sécurité de TotalEnergie en RCA- est dirigé par Christian Perrière, un ex-officier français, mais son conseil d’administration est surtout présidé par Arouna Nikiéma, ancien juriste d’affaires qui a fondé à Ouagadougou en 1996 la Brigade burkinabè de surveillance (BBS). Constituée en holding, BBS se concentre sur la sécurité privée, mais également le convoyage de fonds et la sûreté, à travers sa filiale centrafricaine Croisement et ses entités burkinabè BBS First Security, Burval et Bureau Suretas.
Pour faire fructifier ses activités dans plusieurs pays du continent – Burkina, Mali, Guinée, Côte d’Ivoire, Togo -, Arouna Nikiéma s’appuie sur ses influents réseaux qui reposent notamment sur ses fonctions de président de la Confédération africaine des activités privées de sécurité (CAAPS). En 2012, il a par ailleurs créé l’Académie de sécurité professionnelle (ASP) destinée à nationaliser la formation des vigiles burkinabè employés par les centaines de sociétés privées ayant rapidement essaimé au cours de la dernière décennie. Enfin, l’homme d’affaires s’est également investi dans des opérations philanthropiques gérées par la Fondation Nikiéma Arouna (FNA) pour les secteurs de l’éducation et de la santé au Burkina Faso.
L’augmentation ces dernières années de la valeur assurée des installations physiques, pétrochimiques et aéroportuaires, témoigne des enjeux du marché de la sécurité en Afrique. La tendance générale est à la diversification des acteurs qui couvrent à la fois la surveillance, le gardiennage, le transfert des fonds, des activités industrielles et la cyber-sécurité.
Au Maroc, Brink’s Maroc, filiale de Brink’s France, elle-même filiale du groupe américain Brink Inc, traduit le schéma de la sécurité privée au Maghreb. Les acteurs relèvent de grandes enseignes internatinales. Brinks Maroc partage le marché avec la société de gardiennage et de transport de fonds Group 4 Securicor (G4S), leader mondial en matière de sécurité.
En Afrique subsaharienne, les entreprises locales tiennent la dragée haute à la concurrence internationale. C’est le cas par exemple de Sagam International (Sénégal) de l’homme d’affaires Abderrahmane Ndiaye, qui a élargi ses activités en 30 ans du gardiennage vers l’assemblage des bus et les produits pétroliers. Cet homme d’affaires proche du banquier mauritanien Mohamed Ould Bouamatou a racheté à la mi-février 2019, en toute confidentialité, Senbus Industries et Elton Oil Company sans se départir de sa devise: la discrétion à toute épreuve. Aucun montant n’a été dévoilé lors de cette transaction majeure très suivie dans la sous région.
Sagam a évolué à coup d’acquisitions, notamment en Côte d’Ivoire (Brinks West Africa devenu Codival), mais doit faire face à l’émergence de nouveaux acteurs. Ainsi, ce marché ivoirien connaît depuis 2016 la montée en force de Burval Corporate SA. La société fondée par l’homme d’affaires burkinabè Arouna Nikiema est devenue le plus grand réseau de transport de fonds dans la zone CEDEAO. Le leader de la sécurité fiduciaire met à la disposition de ses clients divers services dont des aéronefs équipés, des véhicules blindés, aux côtés de pilotage de flux financiers, de contrôle d’authenticité et de traitement de valeur. Aux côtés de ces métiers complexes de “l’économie réelle”, il y a ceux portant sur la cyber-sécurité et la surveillance informatique en général.
Anticipant sur l’expansion de ce segment, le japonais NEC XON et le Sénégalais La Colombe Groupe de Djiby Chimère GUEYE ont lancé fin 2018 l’un des tout premiers centres de cyber-securité au Sud du Sahara.
Loin de l’accompagnement des entreprises et des organisations, certaines entités font de la sécurité militaire (ou plutôt paramilitaire) qui va de la protection rapprochée au renseignement privé en passant par des actions anti-terroristes. Ces groupes quadrillent le Sahel, du Burkina Faso au Mali, en passant par le Niger et le Tchad et ont pour nom la Société nigérienne de Sécurité (SNS) du promoteur Yacine Diallo, mais aussi West Africa Security, G4S et Black Hawk.
Sous le Très Haut Patronage de S.E. Pr. Faustin Archange Touadera, Président de la République, le Gouvernement de la République Centrafricaine à travers le ministère des Mines et de la Géologie en partenariat avec le Cabinet SEMICA a organisé le Salon International des Mines, des Carrières et du Pétrole (SEMICA) Centrafrique, du Jeudi 27 au Samedi 29 Février 2020 à l’hôtel Ledger Plaza de Bangui.
Cet événement a rassemblé de hauts responsables gouvernementaux, la fine fleur des opérateurs des secteurs concernés, des experts internationaux, des fournisseurs de biens, de services et de technologie, des financiers et des investisseurs… Dans ce sens, Burval Corporate et BSE relevant du groupe burkinabè BBS Holding, leader dans son domaine, ont marqué leur présence remarquée à l’activité.
Les équipes de la Maison des solutions, BBS Holding, présentes au Salon, ont mis à profit l’occasion pour discuter des défis, et ont mis en évidence les opportunités dans les industries des mines, des carrières et du pétrole en République Centrafricaine et en Afrique.
Dans le cadre de sa politique de promotion des Guichets Automatiques de Banques auprès de ses clients, BURVAL, entreprise spécialisée depuis plus de 20 ans dans la sécurité fiduciaire et le transport de valeurs, a procédé, le Jeudi 7 novembre 2019, à Abidjan, au lancement du SELF SERVICE BANKING, une innovation de gestion fortement attendue par toutes les banques et leurs clients. C’était en présence d’un nombreux public de cadres des banques et institutions financières installées en Côte d’Ivoire et de représentants de l’Administration publique dont les Forces de sécurité.
Le SELF SERVICE BANKING, de l’avis des spécialistes est reconnu aujourd’hui comme la solution idoine pour l’accompagnement des établissements bancaires, financiers et autres, dans la digitalisation et la sécurisation de leurs fonds. En effet, le SELF SERVICE BANKING représente l’ensemble des prestations pouvant être obtenues par les banques à travers les terminaux automatiques comme les Guichets Automatiques de Banques (GAB), les Distributeurs Automatiques de Billets (DAB), les bornes chèques. Cette solution innovante et d’autant plus opportune offre aux clients finaux, des services étendus, notamment les retraits de liquidité, les dépôts d’argent, les dépôts de chèques, les opérations de change, etc., à des horaires d’ouvertures larges et flexibles, même dans les zones les plus reculées, et en toute sécurité.
C’est donc incontestable que Arouna Nikiema, président du comité exécutif de BBS HOLDING dont BURVAL est une des filiales, et ses collaborateurs, donnent l’opportunité à leurs partenaires d’avoir, comme à l’accoutumée, une longueur d’avance sur les autres. «BURVAL propose, de la fourniture des machines, à la maintenance complète tous niveaux, un produit révolutionnaire qui est la gestion du SELF SERVICE BANKING au niveau des DAB. Le principe est de permettre aujourd’hui aux banques, après l’installation de leur GAB, de se consacrer entièrement à leur métier en nous laissant assurer avec efficacité tout ce qui est maintenance. Aujourd’hui BURVAL assure les trois niveaux de maintenances des GAB», a affirmé le PCE de BBS HOLDING.
Les innovations que BURVAL Côte d’Ivoire apporte dans le secteur bancaire avec la digitalisation d’un certain nombre de services sont des solutions complémentaires et efficaces, avait, du reste relevé, le directeur général de cette structure, Serge Manou.
Leader de la sécurité fiduciaire, BURVAL affiche ainsi son engagement à toujours mériter la confiance de ses partenaires, comme principal fournisseur de prestations en Afrique.